Notre hier, un bonheur
Notre hier, était simple, mais si beau
Façonné par de bras, laborieux
Et les cœurs de la vie, de la terre, amoureux
Rire et chants
Des clins d’œil, clandestins
Des sourires, malicieux
Où avec engouement, et grâce,
Tout instant, un enchantement
Notre hier, était des débats dans les cafés
Jamais vides
Ou les gens attablés, un café chaud, sirotant
Accompagné d’un petit pain, ou croissant
Il était, un combat pacifique
Dans les rues, où les gens, si vivants
L’emblème à la main
Notre hier, était beau
De ces hommes et ces femmes
Dans les files d’attentes
Pour s’approprier le lait et le pain, quotidien
Notre hier, était beau, malgré tous ses maux
Où chacun saluait, étreignait
Embrassait, dans la rue,
Un ami, un voisin
Notre hier, était réunion,
Ranimait par les proches
Et les rires gais, des enfants
Notre hier était un jardin
Un couple, volant sur les ailes des mouettes
La main dans la main
Ils tissaient la tête dans le vent, leurs rêves en jasmin
Notre hier, était des écoles,
Des institutions
Des amphithéâtres, qui préparaient,
La génération, de demain
Des écoliers, le cartable sur le dos
Des blouses bleues et roses
Heureux, ils embellissaient, nos matins
Notre hier était, une plage
Où fusaient les cris et les rires des adultes
Des familles et des enfants
Où le sable se transformait, en château
Par de petites mains, à l’esprit magicien
Notre présent à présent, est un vide
Ou tout le monde se sent mal, dans sa peau
Tous les rêves, sont figés
Désertes, sont les quais et les rives
Pas un seul estivant
Et les voiles déchirées
Des chaloupes de fortunes, emmenaient nos
Jeunes en exil, dans des voyages, clandestins
Notre présent, est une planète, alitée
Où les anges, en blouses blanches
Sourient, de leurs traits, fatigués
Apaisaient à voix basses, les patients
Notre passé et notre présent, par ce temps
Ne se conjuguent plus, comme avant
Ils ne sont plus, des jumeaux
L’un, s’est éteint et ravive la douleur
Et les souvenirs des absents
En ce qui concerne le présent, il nous consume
Par la peur et de ce qu’adviendra, demain
Vole le sourire, de sur nos lèvres
Et notre survie, entre ses mains
Notre présent est un virus qui s’appelle, Covid
Qui a chamboulé notre vie et a failli
Emporter tous nos rêves de la vie, si avides
Mais, la poésie est plus forte que, Covid
Grace à elle, on a pu prendre notre destin, en main
Maissa Boutiche, Ain Benian, Alger, Algérie.
Notre hier était beau et demain sera beaucoup mieux inchaAllah .
Magnifique texte . beaucoup d’émotion
Puisse nous tous goûtons au pur bonheur quand on est sous l’enchantement de la fine poésie.
"دع المقادير تجري في اعنتها
و لا تبيتن الا خالي البال
ما بين غمضة عين و انتباهتها
يغير الله من حال الى حال."
انشاله القادم احلى و أحلى.
Azzou Azzou
Merci beaucoup, parfois on étale nos pensées et nos ressentis de notre vécu. Mais سبحان الله جل جلاله، له في خلقه شؤرن.
مودتي والشعر.
malheureusement c’est notre hier qui .a enfanté notre present
أحميدة عيشور
.Bonsoir Gentleman, oui tout à fait exact
.Merci de votre visite et votre lecture approfondie
Agréable journée.
رأيت في الحب جنون ..هو ذاك الإحساس الحقيقي من حب حبيب…وهل لوصف الحبيب لوعة فمكتت مبتسما البال""فناب عني الحجر والشجر داعيا لاسمها إلا ياصاحبي الوشاح الأبيض أصبح وجهك بدرا يلح منه نور
أفكارك صلب المبدعين ونأمل أصابعك تجر حروف من ذهب إلا ياشاعرة الحب .أصدق اعتراف أن اقبل يدك
Tores
كل الشكر والاحترام، حياك الله.